escortgenevesuisse

À mon avis, cet homme, c´est le cas le plus grave que je connaisse dans la vie sexuel d´un être humain! Je serai incapable de donner un nom à son problème sexuel parce que je ne suis pas un psychiatre. Mais je pense que son cas même en psychiatrie n´a pas de solution!
Je ne sais pas si j'arrive à trouver les mots pour expliquer ici ce complexe affaire sexuelle! Je vais essayer de le décrire comme je le vois et je le ressens ...
Dans la vie normale,  « ranhã… nhã… nhã… », Comme je l'appelle, parce que je ne connais pas son nom, est un homme plein de charme et un excellent orateur qui peut très bien prendre un café avec moi et avoir une conversation décente sans sexe. Ça arrive que nous nous croisions à la « Coop 2000 », il vient me saluer et m'offre le café et nous nous asseyions à une table en conversant comme deux bons amis.
Au salon c´est toute une autre histoire! Dernièrement, je me refuse à le faire toute seule et il le sait. Ainsi, lorsque il m´appelle pour venir me voir, il sait déjà, qu´il doit payer une ou deux de mes copines pour que l´on fasse ensemble.
« Ranhã… nhã… nhã… », Doit être le client le plus connu de toutes les filles, dès Genève jusqu´à Paris ! Il n'y a pas une seule fille qui ne s'enfuit pas de lui, quand elles ont déjà gagné la journée !
Il est aussi un homme spécial. Pour être avec une fille, elle doit avoir un nez aux narines larges et dirigée vers le haut! Ce qui n'est pas facile à trouver. Et comme il n'est pas facile, souvent, il doit se soumettre aux filles qui sont dans le marché actuel…
Il commence par ses manies de désinfection, comme s´il en était á l´hôpital. Il frotte les mains plusieurs centaines de fois avec un désinfectant acheté à la pharmacie (la marque, également, c´est important, il connait toutes les marques et nous conseille d´en acheter). Les filles aussi doivent, à leur tour, désinfecter les mains, comme si elles en étaient en préparation pour une opération. Puis, vient le moment qu´il se déshabille en mettant ses vêtements sur une chaise, bien rangés, pour pas qu´ils se frottent. Quand tout est en ordre, il se couche sur la table de massage sur le dos et les jambes pliées. L'une des filles l´attrape alors ses mains et l'autre frotte son nez avec la paume de la main contenant de la salive. Pendant cette scène, les filles devront répéter les mots qu´il prononce : « ranhã… nhã… nhã.. sent la senteur ; la senteur, sent, sent la senteur… ranhã… nhã… nhã… sent… tu sent ?... sent… sent la rose… tu sens la rose ????... Tiens… sent beau la rose… ranhã… nhã… nhã… la senteur… sent la senteur… ».
Les filles doivent répéter ces phrases maintes et maintes fois, tandis que son nez est frotté et puis il frotte aussi le nez des filles. Plus on lui frotte le nez, et il frotte notre nez et plus on répète la célèbre phrase, plus il excite. Pas dans le sens de l´érection du pénis, mais dans le sens de la transformation psychologique. Il passe alors à un état émotionnel profond, comme s´il en était un enfant, toute en émettant des cris comme un petit garçon en colère !
Ensuite il faut l'exciter encore plus! Cette phrase n'est pas suffisante. On passe à la phrase suivante. L'une des filles est un médecin et l´autre une infirmière. L'infirmière saisit les mains et les jambes du patient pour l'empêcher de sauter dans la table de massage, parce qu´il en étant très excités, commence à sauter sur les fesses en émettant de cris comme si nous en étions en train de le tuer ! Alors, le médecin (une des filles) doit lui frotter le nez avec toute la force de sa main pour qu´il en snife l'éther. Et il crie, qu´il n´aime pas l´éther. Alors, le médecin lui dit qu'il n'y a pas d'éther, mais si un parfum de roses ...
La séance est répété à plusieurs reprises. Il trouve que la façon de frotter son nez n'est pas correcte. Il explique par mots et par gestes, comment nous devrons le faire. Tout est à recommencer! « Ranhã… nhã… nhã… sent la senteur… sent… sent la senteur… sent la rose ... etc. », et il hurle, en fermant les yeux, et en émettant des crises de colère : « non… non… je ne veux pas… » et le médecin (fille) qui dit : « si… tu veux… sent… ça sent beau… ça sent la rose… regarde… ce n´est pas de l´éther… ».
Il devient de plus en plus difficile à contrôler ! Il  saute tout son corps sur la table de massage comme s´il en recevait des chocs électriques.  Ce n´est pas facile à le tenir en place sur la table de massage puisque sont excitation augmente à mesure qu´on lui touche ses parties sexuels. En plus il ne veut pas qu´on l´attache. On doit alors le tenir avec nous mains.
Arrive le moment de toucher son zizi… il faut bien le masturber parce qu´il est venu pour ça. Mais il serre fort ses jambes il ne veut pas qu´on le touche le zizi. Il commence à pleurnicher comme un enfant. Le médecin (la fille) lui dit : « allé laisse-toi faire, tu vois bien qu´on veut te soigner… ». L´infermière le masturbe tout en écartant ses jambes. Lui, il ronchonne et gronde comme un bébé. Les filles doivent encore et encore répéter la fameuse phrase du ranhã… nhã… !

 La lutte est féroce entre lui et les filles. On doit le saisir les bras et les jambes toute en le masturbant en même temps pendant qu'il bouge dans tous les sens sur table de massage. On doit aussi lui le frotter le nez et répéter les phrases que l´excitent!
Une fois, moi et une copine, on a éclaté de rire et on a tous gâché ! D´abord il était fâché, puis il a commencé à pleurer comme un enfant en disant que personne ne l´aimait ! Alors, pour le calmer, nous lui avons donné un bain, toute en lui disant de mots gentils comme on fait aux bébés ! Il s´est calmé et nous a même demandé des excuses ! Depuis, nous faisons un effort fou pour ne pas rire. Nous prenons l'affaire au sérieux en tant que professionnels que nous sommes, et nous faisons tout pour qu´il en arrive à avoir un orgasme.
Une demi-heure après qu´on a eu une lutte infernale en lui écartant les jambes et en lui tenant ses bras et ses jambes, et en chantant la même chanson du ranhã… nhã.., il arrive à jouir toute en émettent des cris si fort que nous devons parfois lui serrer la bouche avec la main pour que le voisins ne s´aperçoivent pas ! À ce moment là, (même s´il est averti qu´il ne doit pas le faire) il faut qu´on fasse très attention pour qu´il ne nous crache dessus !
Lorsque c'est fini, il nous parle comme si rien n´était. Il désinfecte les mains plus de cinq cents fois avant de se rhabiller et puis s'en va tout heureux.