Le blog de escortgenevesuisse

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Samedi 17 octobre 6 17 /10 /Oct 19:49

Tu aimes te faire humilier. Cette annonce est pour toi.

Prier de lire le texte SVP : Ceci est le récit d’un de mes clients. Si ça vous tente, appelez-moi pour un RDV

J´ai connu Gabriela après un annonce sur Internet. J´ai regardé ses photos sur son blog et j´ai aimé cette peau blanche, ses belles jambes, ses pieds à mon goût ! On a échangé quelques emails jusqu´au jour que je l´ai appelé pour venir la voir. J´étais étonné ! Son regard était pénétrant, sa personnalité forte, une femme comme il n´y a pas beaucoup. 40 ans, était exactement ce que je cherchais. Bien évidemment, je venais la voir pour qu´on fasse des fantaisies.

Gabriela portait un joli pair de sandales à lanières minces, élégantes, ni petite, ni grande, on voyait ses jolies pieds 39 bien retracées, glaçure pâle. Ces pieds étaient beaux, parfaits ! Je ne pus m´empêcher de faire un compliment, elle me remercia d´un sourire.

Dès que nous sommes entrés dans la chambre, elle m´ordonne de m´agenouiller à ses pieds et lécher les semelles de ses sandales. Je fis comme elle dit, déjà fou de désir.

J´ai léché les semelles jusqu´à qu´elle me dise de l´enlever les sandales et le lécher les pieds. Je me suis exécuté. Mon désir venait de plus en plus fort. Ne voulais pas croire ce qu’était en train de m´arriver ! J´ai lécher ses pieds, ses doigts, la semelle et le talon jusqu`à qu´elle me balance un string féminin et me dise pour que je le porte après m´avoir déshabillé. Avant de quitter la chambre, elle m´ordonne de me mettre à quatre pattes, ayant pour seul vêtements le string, dos tourné sur la porte. Elle m´a balancé encore un foulard noir, pour que je scelle les yeux de façon à ne voir rien de tout. Je me suis exécuté, mais l´attente a été longue, quelques 20 minutes, jusqu`à que je sente une fissure sur mes fesses, et je trouvais cela délicieux.

Gabriela m´applique mouvements lents et décompensées sur mon cul. Seulement après un certain temps, j´ai réalisé que c´était une sandale en caoutchouc. Sa main était lourde et ferme. Les coups étaient donnés de sorte qu´il était impossible de prévoir quand elle me donnerait le prochain. Mon pénis devenait de plus en plus dur, au point de me faire mal. Gabriela m´humiliait avec des gros mots, mais d´une façon douce et coquine, sans crier. Sans scandales. Je n´ai pas pu tenir, et j´ai failli éjaculer sur le string !

Après m´avoir donné, quelque chose comme 40 coups de pantoufles, elle a arrêté de frapper. Subitement, elle arrache le string et voyant que je ne pouvais plus tenir, elle m´a dit qu´elle allait me punir pour ça. J´ai ressenti une étrange sensation, puisque, même si j´ai failli jouir sur la douleur, j´avais encore un plaisir étrange, délicieux.

Gabriela a creusé ses ongles dans mon cul, me grattant partout. Mes fesses me faisaient mal. Gabriela applique quelque chose de froid sur mon cul et commença bientôt à forcer l´entrée avec un objet qu´après j´ai su être un vibromasseur. Elle le posait et le prenait. Mon pénis devient dur. Après quelques minutes comme ça, elle m´enlève le foulard des yeux et me tire la tête par les cheveux, menant ma bouche à son vagin rasé, et me demande de la lécher. J´ai léché sa chatte et son clitoris délicieusement jusqu´à qu´elle émettre un bruit sec. Ma queue devenait de plus en plus dure. Elle m´ordonne ensuite de me coucher par terre, sur le dos, et commença à me masser avec les pieds. Elle massait tout mon corps, puis elle est venue masser mon pénis et mes testicules. Mon pénis devenait chaque fois plus grand. Elle me dit alors, qu´elle va me punir pour avoir failli joui avant qu´elle ne me autorise, et sans quoi que ce soit d´autre, elle serra mes couilles avec le pied. J´ai hurlé de douleur, une douleur indescriptible et en même temps délicieuse. J´ai joui à ce moment-là.

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Par escortgenevesuisse - Publié dans : Séance de domination
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Samedi 17 octobre 6 17 /10 /Oct 19:45

Tu veux te travestir ?

Avec moi tu peux te travestir, je te traite comme tel. Tu prends tes habilles femme dans un sac. Je te laisse seul dans la chambre pour que tu puisses te changer. Je rentre un moment après. Je te caresse en tant que femme, en te soulevant ta jupe et en te touchant ton sexe. Puis, je te déshabille tout doucement toute en traitant comme ma femme. Je peux te masser un peut le corps si tu le veux et après je peux te pénétrer avec mes godes-ceintures.

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Samedi 17 octobre 6 17 /10 /Oct 19:33

Séance de domination avec moi,

Je suis habillé en maitresse, botes aux canes hautes, cravache à la main et je vais passer une heure avec toi en t’humiliant comme un chien. Tu adores ça et tu me téléphones uniquement si tu veux un RDV.

Comme tu es mon esclave pendant une heure, tu dois m’apporter dans une enveloppe ma récompense 250 CHF.

Je commence par te mettre un masque. Tu n’as pas le droit de me regarder. Je te mettrai une laisse et je te promène dans l’appartement à 4 pattes. Je te guide, puis je serai chevauchés sur toi en te donnant des fessés ainsi comme le fouet. Comme tu es un bon à rien et tu as une quéquette monstrueuse qui ne serve à rien, je vais me moqué de toi. Tu dois te toucher pour me montrer que tu arriveras au moins à jouir devant moi. Tu es désobéissant ? Je t’enfilerai la tête dans de WC de la salle de bains, attaché comme un cochon au poteau et tu dois rester ainsi jusqu`à que tu me supplies de détacher. Puis, comme tu n’arrives toujours pas à me montrer t’as puissance sexuelle, je te coucherai par terre en t’écrasant avec mes talons aiguilles. Ton zizi qui ne serve à rien, tes testicules qui sont remplis et que ne veulent pas se vider seront aplati comme deux boules de pâtes moules. Tu es tout rouge, tu ne peux plus et tu nous pries d’en finir au plus vite, ben non, tu vas encore souffrir devant moi. Je te mettrai à genoux en te pinçant les tétons en tirant fort, en te crachant dessus et pourquoi pas en te sodomisant avec mon gode ceinture. Tu as le trou du cul plus large qu’un camion et tu veux que je t’enfonce la bite la plus grosse que j’ai, pas de problème. Tu auras la plus large et aussi une main toute entière pour ne pas parler du bras. On terminera t’obligeant à boire mon champagne dorée pendant que tu te masturbe. D’autres scénarios possibles à voir sur place.

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Samedi 17 octobre 6 17 /10 /Oct 19:30

L’esclave sans limites

Ce fut le matin, faisait un moment que le soleil s’été levé levait. Je ne me concentré pas tout à fait sur son corps, car je savais qu’encore quelques minutes et cela allait arriver. Je n’arrivais pas à me tenir en place, ici, retenu par le chagrin, je voyais ces poignets et ces chevilles palpiter de douleur. Les genoux saignaient sur le solo de mon appartement, le soleil montait jusqu`à la fenêtre illuminant sont tronc attaché comme un animal au radiateur de ma chambre. Il avait soif e faim et il priait à la torture. Sa bouche sèche et sans salive et l’estomac à ronfler de douleur furent de martyrs constantans. Depuis mon canapé, ou j’étais assise, en sirotant un café, je pouvais le voir et le regarder avec pitié. Cela ne me dérangeait puisque je savais qu’il était un esclave jusque-là indomptable. Il a pleuré silencieusement avec la tête baisse sur ses poignets. Il pleurait silencieux avec haine, faim, agonie, pendant que le soleil montait encore sur son corps et le montrer ainsi la signification de la chaleur. Maintenant sur la chaleur il sentait la sueur lui tomber sur les yeux sans qu’il le puisse nettoyer puisque ces mains étaient attachés au radiateur. La soif montait exponentielle et commençait à être insupportable, sa tête palpitait de douleur, son dos lui faisait mal dus à sa position incommode. Je m’efforçais de ne pas penser à cela, finalement c’est ce qu’il voulait vraiment. Il se torpillait sur ces jambes. Le temps passé et la douleur augmentée, faisant la douleur arrivée à un point de folie. Faisait maintenant presque une heure qu’il était attaché, pendant que je buvais mon café, me balançait délicatement dans le canapé, lui montrant légèrement mon sexe, croisant et décroisant les jambes pareil à Sharon Stone dans le film Basic Instinct. Le soleil de plus en plus fort lui tapait dessus. Il n’arrivait plus à penser droit, pensait à quelque souffle que ne vienne jamais. Encore un peu et il serait à la merci de sa maîtresse qui allait ensuite le punir sans aucun remords. Ces genoux ne tenaient plus la position et c’est là que je me lève pour le mettre à carreaux lui tapant dans les fesses et l’urinant dessus. Il n’arrivait plus à ouvrir les yeux, alors je l’ai détaché et je l’ai pris par ces cheveux avec violence, le tirant vers le milieu de la chambre et il me souriait satisfait de sa souffrance. Le supplice augmentait à mesure que je l’obligeais à lécher mes jambes encore mouillés de mon urine, lui donnant de coups pour m’avoir obligé d’être une cochonne avec lui, laissant derrière nous l’odeur du péché. Il ne me répondait pas, alors je le lui donne un coup avec ma main fermé et bien serré au milieu de son derrière lui faisant gémir de douleur. Il a senti le fouet s’abattre sur son dos, sans pitié ni indulgence et il est tombé raide par terre étirant ces jambes depuis une éternité ici à genoux. Ce fut une douleur aigue. Alors je l’ai prise par la laisse et le traine vers moi comme un sac à merde, lui montrant qu’il était là pour m’obéir. Je suis allé chercher un bassin d’eau et je le pose par terre, devant son visage. Maintenant il pouvait tuer sa soif buvant comme un chien et pas autrement. Il était heureux, il me dit, merci maîtresse et il boit couché de côté. Mais je ne l’ai pas laissé finir. Je l’arrache les cheveux et je lui demande s’il a faim. Il me fait signe de dire oui, et moi, je lui dis que s’il veut manger il doit le mériter, me montrer sa soumission. Il allait me prouver s’il méritait sa bouffe ou s’il devait continuer à être traiter comme un cochon. Alors je lui tourne le dos et je lui dis de manger ce que j’avais entre mes jambes. Et il devait bien faire s’il voulait ensuite que je lui permettre d’avoir aussi un plaisir de jouissance. À chaque lingue mal conduite, il prenait un coup sur la tête afin de lui montrer l’endroit où il devait me donner du plaisir. Et c’est seulement après qu’il eut le droit de me montrer son pénis. Je n’avais jamais vu une bite comme la sienne. Elle était petite et grosse, avec une tête disproportionnée par rapports au tronc, une tête grosse, rouge, tordue, gonflé, permettant de voir ses veines grosses et lancinantes. Elle était déjà en érection, dure, puisque il arrivait à ce stade uniquement par la souffrance. Alors, je lui pointe mon martiner sur sa tête, je lui ordonne de se mettre à genoux, devant moi, entre mes jambes et je lui ordonne de caresser sa queue de haut en bas, et délicatement sur la tête lui versant encore de l’huile chaude pour qu’il brule de plaisir. Il a obéit, faisant ces mouvements avec vitesse, tellement vite que j’ai dû lui frapper à la tête pour qu’il s’arrête un moment. Ce ne t’était pas encore venu le moment. Je suis alors chercher mon good-ceinture, je l’ai mise autour de ma taille sur le regard gourmand de mon esclave. Ses yeux brillaient à chaque geste de ma main. Je m’approche de lui, j’enfonce ma bite dans sa bouche et je l’ai forcé à la prend jusqu’à sa gorge. Il engoulait ma bite entre ces amygdales pendant que sa bave tombait de sa bouche et coulait sur son menton. Il défonçait sa tête sur mon gode-ceinture, étouffé, il toussait avec de nausées. De temps en temps je me retirais le frappant sur le visage, et il profitait à ce moment de respirer un peu, mais très vite je l’enfonçais ma bite avec violence dans sa bouche jusqu`à que mon esclave me supplie d’arrêter. Non. On n’allait pas s’arrêter là. Je devais encore le faire souffrir. Je l’ordonne de se mettre tourné vers le sofa, dos tourné vers moi, la main posés vers le haut et je l’interdit de les bouger. Je cherche maintenant son anus. J’enfonce avec violence mes doigts, puis mon gode, bien profonds. Il crie, il a mal, mais il aime. Il doit maintenant se masturber jusqu`à ces couilles se vident sur mes pieds.

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Par escortgenevesuisse - Publié dans : Séance de domination
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Samedi 17 octobre 6 17 /10 /Oct 19:27

Je te sodomise avec mon gode-ceinture

Avant de te sodomiser, je te prépare un peu l’anus avec du lubrifiant en massant ta prostate avec mes doigts, ainsi qu’une préparation à la dilatation sans douleur. Puis, j’utilise mes vibromasseurs, le plus petit et fin et ensuite un peu plus gros et ainsi de suite. On peut essayer le gode-ceinture et on baisera en toute position si ça te plait. À quatre pattes, parterre, tous les deux à genoux contre le lit, je t’enfoncerais comme si tu étais ma femme. Tu sentiras ma queue en toi, dans ton intérieur, tu vas aimer ça et tu me demanderas plus et plus. Tu peux mettre aussi tes jambes en l’air et moi je te pénètre devant en touchant ton pénis, tu bougeras tes fesses selon ton désir pendant que je te masturbe. D’autres propositions et positions possibles. À voir sur place.