Partager l'article ! L’esclave sans limites: Ce fut le matin, faisait un moment que le soleil s’été levé levait. Je ne me concentré pas tout à ...
Ce fut le matin, faisait un moment que le soleil s’été levé levait. Je ne me concentré pas tout à fait sur son corps, car je savais qu’encore quelques minutes et cela allait arriver. Je n’arrivais pas à me tenir en place, ici, retenu par le chagrin, je voyais ces poignets et ces chevilles palpiter de douleur. Les genoux saignaient sur le solo de mon appartement, le soleil montait jusqu`à la fenêtre illuminant sont tronc attaché comme un animal au radiateur de ma chambre. Il avait soif e faim et il priait à la torture. Sa bouche sèche et sans salive et l’estomac à ronfler de douleur furent de martyrs constantans. Depuis mon canapé, ou j’étais assise, en sirotant un café, je pouvais le voir et le regarder avec pitié. Cela ne me dérangeait puisque je savais qu’il était un esclave jusque-là indomptable. Il a pleuré silencieusement avec la tête baisse sur ses poignets. Il pleurait silencieux avec haine, faim, agonie, pendant que le soleil montait encore sur son corps et le montrer ainsi la signification de la chaleur. Maintenant sur la chaleur il sentait la sueur lui tomber sur les yeux sans qu’il le puisse nettoyer puisque ces mains étaient attachés au radiateur. La soif montait exponentielle et commençait à être insupportable, sa tête palpitait de douleur, son dos lui faisait mal dus à sa position incommode. Je m’efforçais de ne pas penser à cela, finalement c’est ce qu’il voulait vraiment. Il se torpillait sur ces jambes. Le temps passé et la douleur augmentée, faisant la douleur arrivée à un point de folie. Faisait maintenant presque une heure qu’il était attaché, pendant que je buvais mon café, me balançait délicatement dans le canapé, lui montrant légèrement mon sexe, croisant et décroisant les jambes pareil à Sharon Stone dans le film Basic Instinct. Le soleil de plus en plus fort lui tapait dessus. Il n’arrivait plus à penser droit, pensait à quelque souffle que ne vienne jamais. Encore un peu et il serait à la merci de sa maîtresse qui allait ensuite le punir sans aucun remords. Ces genoux ne tenaient plus la position et c’est là que je me lève pour le mettre à carreaux lui tapant dans les fesses et l’urinant dessus. Il n’arrivait plus à ouvrir les yeux, alors je l’ai détaché et je l’ai pris par ces cheveux avec violence, le tirant vers le milieu de la chambre et il me souriait satisfait de sa souffrance. Le supplice augmentait à mesure que je l’obligeais à lécher mes jambes encore mouillés de mon urine, lui donnant de coups pour m’avoir obligé d’être une cochonne avec lui, laissant derrière nous l’odeur du péché. Il ne me répondait pas, alors je le lui donne un coup avec ma main fermé et bien serré au milieu de son derrière lui faisant gémir de douleur. Il a senti le fouet s’abattre sur son dos, sans pitié ni indulgence et il est tombé raide par terre étirant ces jambes depuis une éternité ici à genoux. Ce fut une douleur aigue. Alors je l’ai prise par la laisse et le traine vers moi comme un sac à merde, lui montrant qu’il était là pour m’obéir. Je suis allé chercher un bassin d’eau et je le pose par terre, devant son visage. Maintenant il pouvait tuer sa soif buvant comme un chien et pas autrement. Il était heureux, il me dit, merci maîtresse et il boit couché de côté. Mais je ne l’ai pas laissé finir. Je l’arrache les cheveux et je lui demande s’il a faim. Il me fait signe de dire oui, et moi, je lui dis que s’il veut manger il doit le mériter, me montrer sa soumission. Il allait me prouver s’il méritait sa bouffe ou s’il devait continuer à être traiter comme un cochon. Alors je lui tourne le dos et je lui dis de manger ce que j’avais entre mes jambes. Et il devait bien faire s’il voulait ensuite que je lui permettre d’avoir aussi un plaisir de jouissance. À chaque lingue mal conduite, il prenait un coup sur la tête afin de lui montrer l’endroit où il devait me donner du plaisir. Et c’est seulement après qu’il eut le droit de me montrer son pénis. Je n’avais jamais vu une bite comme la sienne. Elle était petite et grosse, avec une tête disproportionnée par rapports au tronc, une tête grosse, rouge, tordue, gonflé, permettant de voir ses veines grosses et lancinantes. Elle était déjà en érection, dure, puisque il arrivait à ce stade uniquement par la souffrance. Alors, je lui pointe mon martiner sur sa tête, je lui ordonne de se mettre à genoux, devant moi, entre mes jambes et je lui ordonne de caresser sa queue de haut en bas, et délicatement sur la tête lui versant encore de l’huile chaude pour qu’il brule de plaisir. Il a obéit, faisant ces mouvements avec vitesse, tellement vite que j’ai dû lui frapper à la tête pour qu’il s’arrête un moment. Ce ne t’était pas encore venu le moment. Je suis alors chercher mon good-ceinture, je l’ai mise autour de ma taille sur le regard gourmand de mon esclave. Ses yeux brillaient à chaque geste de ma main. Je m’approche de lui, j’enfonce ma bite dans sa bouche et je l’ai forcé à la prend jusqu’à sa gorge. Il engoulait ma bite entre ces amygdales pendant que sa bave tombait de sa bouche et coulait sur son menton. Il défonçait sa tête sur mon gode-ceinture, étouffé, il toussait avec de nausées. De temps en temps je me retirais le frappant sur le visage, et il profitait à ce moment de respirer un peu, mais très vite je l’enfonçais ma bite avec violence dans sa bouche jusqu`à que mon esclave me supplie d’arrêter. Non. On n’allait pas s’arrêter là. Je devais encore le faire souffrir. Je l’ordonne de se mettre tourné vers le sofa, dos tourné vers moi, la main posés vers le haut et je l’interdit de les bouger. Je cherche maintenant son anus. J’enfonce avec violence mes doigts, puis mon gode, bien profonds. Il crie, il a mal, mais il aime. Il doit maintenant se masturber jusqu`à ces couilles se vident sur mes pieds.
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